L’Odyssée De La Belle Hélène – Le Colosse De Rhodes –

L’Odyssée de la Belle Hélène – Le Colosse de Rhodes – (suite de l’épisode posté le 04-04-2018) -

Dans la mythologie grecque, la tribu des Lapithes habitait le Nord de la Thessalie, établie entre la Phthiotide, le Mont Olympe, le Pinde et la Perrhèbie. Leur nom viendrait de Lapithès1, fils d'Apollon et demi-frère de Centauros, éponyme fondateur du peuple des Centaures. Le nom de Centaure, ou plutôt l'épithète centauros, était donné aux Lapithes pouvant s'offrir l'entretien d'un cheval, et s'adonner à la chasse aux taureaux. Les Centaures sont donc initialement une classe de Nobles Lapithes expatriés et n'avaient pas de roi, contrairement aux premiers Lapithes. Ces derniers trouvent leur origine chez les Pélasges, qui auraient fondé la colonie d'où serait issue la Nation Lapithe. L'un de leurs rois fut Pirithoos, fils et successeur du roi Ixion, demi-frère des centaures… Un jour alors qu'il se promenait, Pirithoos remarqua et séduit une belle jeune fille du nom de Hippodamie, fille d'Adraste et d’Amphithéa.

Par la suite, Pirithoos épousa Hippodamie et il invita tous les dieux de l'Olympe à son mariage, ainsi que les Centaures. Mais ces derniers n'avaient pas l'habitude du vin et, lorsque les Centaures eurent senti son odeur, ils repoussèrent le lait caillé qu'on avait posé devant eux et coururent emplir leurs cornes d'argent, aux outres de vin fortement alcoolisé. Dans leur ignorance, ils avalèrent d'un seul trait le fort breuvage sans le couper d'eau et devinrent tellement ivres que, lorsque la mariée arriva suivie de son cortège, dans la caverne pour les saluer, Eurytion, un Centaure très enivré que le vin rendit méchant, sauta de son siège, renversa la table et la prenant par les cheveux, l'entraîna de force pour la violer. Aussitôt, les autres Centaures suivirent cet exemple et se jetèrent sur les femmes et les jeunes garçons en les violant dans une orgie accompagnée d’un vin qui coulait à flot. Pirithoos suivit de Thésée, voyant l’horrible scène, s'élança au secours d'Hippodamie, coupa le nez et les oreilles d'Eurytion, et avec l'aide des Lapithes, il le jeta hors de la caverne.



La bataille qui s'ensuivit et au cours de laquelle Caenée le Lapithe fut tué, dura jusqu'à la nuit et se termina par le massacre de la plupart des Centaures enivrés, sauf ceux qui réussirent à s’enfuir pour rejoindre leurs congénères. C'est ainsi que commença la longue guerre qui opposa les Centaures à leurs voisins les Lapithes, dirigés par Arès et Eris, pour venger l'affront qui leur avait été fait... Après ce drame des noces de Pirithoos, les Lapithes en punition pour le massacre des centaures, furent condamnés à subir le châtiment au Tartare. Selon Apollodore, ils étaient roués ou démembrés éternellement… Mais quelques-uns échappèrent à ce triste sort en choisissant l’exil. Ces rescapés réussirent à refonder une autre colonie, celle des Néo-Lapithes du côté d’Éphèse … Mais cela était déjà de l’histoire ancienne pour Pégase, fils de Poséïdon, qui eut toujours une certaine amertume pour ce peuple des Lapithes, étant à l’origine du massacre des siens, les centaures …

Dans le sommeil de Pégase dormant à points fermés pas très loin de la Belle Hélène, ce fut à son tour de percevoir une voix Divine résonnant dans sa tête en plein songe. Celle-ci lui intima de se rendre, sans tarder, à Rhódos (Rhodes) rencontrer un Centaure nommé Hyléos, le dernier vivant Grand Noble Lapithe de souche … La voix disait aussi que cet Hyléos avait un message important à lui communiquer, pour la survie des Centaures. Mais que pour parvenir jusqu’à lui, il devrait affronter le Colosse de Rhódos (Colosse de Rhodes) qui empêchait tout être d’entrer dans la cité sans une compensation résumée en deux possibilités : Soit affronter au combat ce géant Colosse réputé pour son invincibilité, soit lui offrir une femme pour une nuit et qu’il laisserait passage libre à la ville uniquement si ladite femme saurait le contenter… Le soleil était déjà haut en cette matinée quand Pégase se réveilla et après être complétement sorti de son sommeil, il aperçut sa compagne de route, la Belle Hélène déjà debout scrutant l’horizon avec attention.
Les mots de la voix que Pégase avait entendus en songe lui revenaient sans cesse et après une rapide mais juste réflexion, il se dit qu’affronter le Colosse de Rhodes était une utopie à espérer le vaincre. Il décida donc de tout expliquer à la troyenne… La Belle Hélène l’écouta avec attention et il ne lui fallut que très peu de temps pour lui répliquer :

- Pégase, mon ami, tu m’as assez souvent aidé dans notre périple et j’ai le devoir de t’aider à mon tour. Offre-moi pour une nuit à ce géant de Rhodes, je pense pouvoir le contenter et ainsi tu pourras rejoindre Hyléos, ce Grand Noble Lapithe comme te l’a intimé la voix Divine…



Il était évident pour la Belle Hélène de se donner corps et âme à ce géant pour aider son ami Pégase car après tout ce qu’elle avait vécu en péripéties sexuelles et de soumission (lire toutes ses aventures, dans les Douze servitudes …), elle se sentait prête à subir les éventuelles perversités du Colosse de Rhodes… Après une journée de voyage avec les pauses, il faisait nuit quand suite à ce trajet sans encombre et dans les airs sur le dos de son ami ailé le centaure Pégase, ce dernier et Hélène arrivèrent aux portes de Rhodes. Tout semblait très calme, silencieux et la pleine lune suffisait à éclairer par de multiples ombres les nombreuses habitations de la vaste cité grecque endormie qui se dessinaient dans cette vallée encaissée aux bords de la mer Egée. Nos deux héros contemplaient ladite cité du haut d’une colline où Pégase avait atterri… Ce qui surpris le plus Hélène était de ne pas apercevoir le Colosse car ce géant ne pouvait pas passer inaperçu, ne serait-ce par son impressionnante hauteur évaluée à plus de dix mètres… La belle Hélène demanda à Pégase de donner quelques coups d’ailes afin d’aller voir de plus près, en se dirigeant pour se poser sur la plage où seul le récurrent ressac des petites vagues se faisaient entendre dans le silence de la nuit…

Une fois à terre, Hélène conseilla à Pégase de s’éloigner et de retourner sur la colline et de l’attendre tout en restant vigilant à surveiller ce qui se passera.
Le centaure obtempéra mais avec inquiétude car il craignait pour la sécurité de son amie… La troyenne dut le rassurer qu’en seulement quelques coups d’ailes, il pourrait intervenir… C’est ainsi qu’elle se retrouva seule sur ce sable fin en bord de mer, une vaste zone sablée qui impressionna la Belle par sa grande superficie offrant un très large espace entre les rochers et l’eau de mer… La Belle marcha sur quelques mètres scrutant tout ce qu’elle pouvait apercevoir tout autour d’elle, mais visiblement pas âme qui vive. Personne ! Quand lui vint à l’esprit l’idée d’appeler Pégase et de pénétrer dans la cité, puisque visiblement celle-ci n’était pas gardée par le Colosse ! Alors, au moment de crier à son ami de venir la chercher, il se passa une chose extraordinaire qui la figea de stupeur et elle ne put sortir un seul mot de sa bouche tant elle se trouva stupéfaite… Cela démarra par un bruit sourd venant sous ses pieds et faisant trembler le sol, ce qui fit tomber Hélène dans le sable. S’en suivit, juste à quelques mètres devant elle, un énorme et brusque soulèvement de terrain, le sable et la terre volaient de tous les côtés de cette montagne apparaissant subitement poussant comme un champignon et qui se créait sous les yeux effarés de la Belle. Une montagne de terre meuble donc sortit de terre d’un seul coup pour atteindre une hauteur d’environ une dizaine de mètres et tout en s’ouvrant en deux, laissant paraitre, venu de sous terre, le Colosse de Rhodes qui se dressa de toute sa splendeur … Puis, une fois toutes poussières terreuses dissipées, le calme revient… Le Colosse jaugea d’abord sans rien dire Hélène, pour ensuite se pencher et approcher sa tête à quelques centimètres d’Hélène qui figée, ne bougeait pas, comme tétanisée par l’impressionnant géant…

- Qui ose venir me déranger, grogna-t-il tout en observant la petite humaine…
- C’est moi, je suis Hélène de Troie et je veux entrer dans la cité avec mon compagnon Pégase… On m’a laissé dire qu’il fallait te voir afin d’être autorisés à entrer dans Rhodes, est-ce vrai ? Ô divin et noble Colosse de Rhodes !, ponctua la Belle.

- C’est exact ! Alors tu ne me déranges pas pour rien ! Il vaut mieux pour toi sinon, tu serais déjà écrasée comme une araignée… Mais connais-tu les conditions pour entrer dans la cité ?
- Oui, soit te combattre, ce qui est peine perdue, soit m’offrir à toi et te contenter toute une nuit …
- Ha ha ha !, ricana le géant de sa voix grave. C’est bien cela … Et qu’as-tu choisi, petite humaine ?…
- M’offrir à toi et te contenter plus que raison jusqu’au lever du jour ?…
- Alors soit ! Si tel est ton choix … C’est ce que nous allons voir …

Le Colosse approcha doucement alors son index sur la tête d’Hélène et du bout de son doigt, il la toucha légèrement. Il avait à peine retiré son doigt qu’Hélène se sentit toute bizarre et se mit à légèrement vaciller alors qu’elle se sentit grandir à vue d’œil. Tout autour d’elle, tel le panorama tissait, jusqu’à, et en quelques secondes seulement, elle atteignit la taille du Colosse… Celui-ci tout en la fixant droit dans les yeux, lui ordonna sur une ton d’autorité :

- Maintenant que tu es à ma taille, nous avons toute la nuit à nous sur cette plage … Défais-toi de tous tes artifices, humaine ! Car c'est dans la pureté de ton corps que tu dois Me contenter …

Soutenant le regard lubrique du Colosse, elle défit son unique vêtement, sa tunique et sans aucune pudeur lentement, jusqu'à apparaître dans le plus simple appareil, dévoilant son sublime corps nu de la plus belle femme du monde. Elle se tenait avec fierté face au géant avec lequel, elle avait désormais la même taille que lui. Elle restait droite, les seins fièrement tendus, ne montrant aucune gêne, l’allure de sa silhouette défiant par une posture presque arrogante. Et sans un mot de plus, le Colosse prit la tête d’Hélène pour la forcer à s’agenouiller dans le sable et à lui lécher sa volumineuse verge dressée qui se profilait sous son pagne. Proportionnée à ses gros testicules, sa grosse bite devait avoir le diamètre d’un gros poing d’homme et d’une longueur de 60 centimètres ! Assez grosse pour entrer dans la bouche d’Hélène, celle-ci se contentait d’abord de lui prodiguer de savoureux léchages de langue sur toute la longueur de la hampe, de la base des couilles, s’attardant à chaque replis de peau ou des veines saillantes pour remonter jusqu’au volumineux gland violacé et gorgé de sang.

Ensuite, elle le prit en bouche et s’activa à le pomper tout en salivant un maximum, elle lui prodigua une fellation des plus parfaites, ne manageant pas sa peine, sa bouche devenant un véritable fourreau de chair humide et chaude. Cette cavité buccale allait et venait de plus en plus rapidement tandis que sa main empoignait doucement ses grosses couilles pour les malaxer. Le Colosse visiblement appréciait le savoir-faire de l’esclave femelle qui utilisait aussi son autre main pour caresser les fesses, le bas-ventre et la hampe du géant. Celui-ci émettait des grognements de plaisirs appuyant de ses deux grosses mains puissantes sur la nuque d’Hélène… Quand au bout d’un long moment, le Colosse poussa un puissant et interminable râle de jouissance qui ne s’arrêtait plus quand il jaillit, de sa verge gonflée, de très abondants flots de sperme à n’en plus finir, comme s’il avait emmagasiné des litres de foutre ! Aussi incroyable que cela puisse être, c’est au moins un bon demi-litre de sperme qui fut éjaculé sur le visage de la Belle. Visiblement le géant se soulageait abondamment dans un plaisir foudroyant… .

- Aaahh c'est bon !, éructa le monstre de sa grosse voix de géant.

Ensuite, il la força à se coucher sur le dos dans le sable de cette plage désertique à cette heure de la nuit. Il lui imposa qu’elle reste les jambes relevées et écartées. Puis le Colosse se laissa tomber sur elle, l'écrasant de tout son poids, sans se soucier le moins du monde de son confort, lui saisissant les poignets, il lui faisait face, poussant son énorme sexe entre les cuisses de la Belle Hélène, entrant sans ménagement dans le vagin qui lui était si largement ouvert ! Il pénétrait en elle, il poussait et un sourire apparaissait sur sa volumineuse bouche tandis qu'il contemplait les grimaces gémissantes de la femelle qu'il pénétrait avec lenteur, profitant de ce qu'il lui infligeait... le Colosse fut surpris de s’apercevoir que la soumise prenait du plaisir si rapidement tout en pouvant recevoir un tel volumineux phallus car les yeux fermés, Hélène avait cherché son souffle, tenté de trouver de l’excitation à la pénétration de cet énorme engin qui l'avait ouverte et s'était enfoncé en elle tel un pieu aussi épais que dur. Le géant poussait de toutes ses forces, sa grosse verge démesurée allait et venait dans le large vagin ouvert et humide comme une grotte chaude et accueillante, et Hélène suivait maintenant le rythme endiablé que lui imposait le géant qui avait un appétit sexuel démesuré malgré qu’il avait déjà abondamment joui, il avait visiblement bandé de nouveau quasiment de suite.

Maintenant la Belle dégoulinait littéralement de désirs, de plaisirs accompagnant, les virils coups de boutoirs du Colosse de Rhodes, d'une ondulation de tout son corps. Chaque fois qu'il s'enfonçait en elle, il la soulevait au-dessus du sable chaud et elle laissait échapper des gémissements rauques, tels les râles de plaisir jouissifs d'une femelle en chaleurs... Elle n’avait jamais été baisée comme cela, si sauvagement, si puissamment, si bestialement et le plaisir de la belle en fut décuplé… Puis dans des ébats torrides, les deux corps accouplés se mirent à tournoyer sur le sable, se déplaçant jusqu’à la mer et ils copulèrent ainsi longtemps dans la petite profondeur du bord de mer, leurs corps dépassant de la surface de l’eau... S’aurait été sensuelle, érotique même de cette scène de deux corps baisant sur cette plage exotique si cela ne virait pas à une véritable frénésie ! En effet Hélène s'agitait de façon désordonnée sous le viril corps du Colosse qui l'avait maintenant retournée et la baisait en levrette en la tenant fermement par les hanches devant lui, elle était presque soulevée au-dessus du sol, comme une marionnette agitée par l'énorme manche qu'il avait enfoncé en elle et le long duquel il la faisait glisser, aller et venir avec force et d’une cadence infernale, obtenant d’Hélène des râles et des cris de plaisir si puissants qu’ils se mêlaient aux gémissements d'excitation du géant qui, enfin sentit son plaisir de nouveau exploser, jaillir, inonder la caverne offerte de l'esclave à l'issue d'une inouïe saillie mémorable telle qu'elle n'en avait jamais connu auparavant ! En effet, jamais elle n’avait été prise ainsi par une telle virilité décuplée lui apportant autant de si puissantes jouissances hors normes… Hélène en devenait une femelle fontaine laissant échapper, jaillir son éjaculat abondant par des jets puissants

Et le Colosse éjaculait aussi et de nouveau avec abondance à n’en plus finir ! Et il laissa Hélène se répandre sur le sol, elle baignait dans une grosse flaque de sperme déversé et que le sable pompait doucement tandis qu'il s'écroulait lui-même, épuisé, vidé de sa semence autant que de son énergie pourtant immense. Seule sa verge resta bandée comme si elle était condamnée à tout jamais à rester dressée !… Alors que le géant gisait allongé sur le sol, Hélène ayant toujours pour véritable but de le contenter plus que raison toute la nuit, elle rampa jusqu'à lui, se frottant à ce corps immense, léchant sa verge dure et poisseuse de sperme, puis remontant lentement vers le ventre, la poitrine... Elle le regardait avec une avidité qu'il n'avait jamais vue sauf dans les yeux d'une créature affamée... La Belle, insatiable, était maintenant sur lui, assise sur son ventre, le dos appuyé contre la verge dressée et qui lui faisait comme un dossier. La Belle caressait ses tétons énormes et durs, elle si haletante et manifestement inassouvie... A la grande surprise du Colosse, elle s'appuya alors sur lui pour soulever sa croupe et venir poser son cul de femelle en chaleurs sur l'énorme gland turgescent et dégoulinant encore de semence... elle ne cessa pas un instant de le regarder tandis que, glissant lentement sur la verge dure et poisseuse, elle s'empalait sur lui, l'anus pourtant étroit s'ouvrant peu à peu pour engloutir l'érection en une sodomie profonde. Le géant en restait muet, presque timide l'espace d'un instant... Il la regardait étonné car jamais il n’avait eu à faire à une femelle entreprenante, il l’avait à l’évidence sous-estimée. Tandis qu'elle se laissait lentement glisser sur le manche de chair qui pénétrait en son fondement, ouvrant inexorablement son anus, son cul, elle s’empalait jusqu’à la garde pour le chevaucher avec de nouveau une frénésie infernale ...

- OOOhhhh ! Mmmhhh oui, mon cul va avaler ton énorme engin ! Ooohhhhh gémissait-elle...

Que de râles et grognements, bruits de succion et de chairs durant cette sodomie qui dura, dura, un temps qui semblait vraiment interminable. En effet durant des heures, toute la nuit, ils baisèrent ainsi et en toutes positions, Hélène fut prise, baisée, besognée, possédée mainte et mainte fois dans tous ses orifices, allant d’orgasmes en orgasmes, tous plus puissants les uns que les autres, comme les abondantes éjaculations du Colosse dans de torrides copulations toutes aussi lubriques les unes que les autres…. Toute la nuit, bouche, cul et vagin furent abondamment comblés jusqu'à ce qu'enfin le Colosse presque lassé, laissa Hélène, en s’endormant exténué sur la plage. Elle aussi s'écroula sur le sol, visiblement épuisée. Insatiable mais épuisée… Le soleil était déjà haut quand Hélène se réveilla au bruit des petites vagues venant se perdre sur la plage. Ne fut-elle pas surprise de constater qu’elle avait retrouvé sa taille normale d’humaine mais aussi que le Colosse avait disparu … Alors elle comprit qu’elle avait réussi à le contenter et que l’entrée de la Cité lui était désormais grande ouverte … C’est en réalisant cela qu’elle aperçut Pégase venant à elle en quelques coups d’ailes…

(A suivre …)

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